Jeux sportifs et jeux d’opposition
Les jeux d’adresse
Les activités d’adresse permettent d’améliorer des habiletés motrices en lien avec la coordination.
Très important à développer dès le plus jeune âge, l’entretien physique chez l’adulte est également un gage de bien être.
Parmis les jeux fédéraux que nous développons, nous utilisons principalement
Le Speed Ball :
Jeu de raquette basé sur le principe de rotation libre d’une balle autour d’un mas.
L’Indiaca :
Jeu de volant à mi-chemin entre le volley-ball et le badminton.
Pour vous former à ces nouvelles activités nous proposons des formations spécifiques.
Rendez-vous dans l’onglet formation.
Les jeux collectifs
Les jeux collectifs sont utilisés au sein de notre Fédération pour développer, améliorer ou maintenir les qualités physiques tant chez les jeunes enfants que chez les adultes.
L’approche ludique de cet activité en faisant un atout majeur.
La façon d’avancer sur le terrain et les moyens de défense autorisés produisent deux types de jeux :
- Ceux dont l’objectif est de gagner du terrain pour atteindre la cible comme le flag football ou le rugby.
- Ceux dans lesquels il faut utiliser les intervalles laissés libres par l’adversaire afin de porter ou envoyer le ballon dans la cible (football, handball, …)
On peut également ajouter les jeux collectifs sans contact entre les équipes comme le volley-ball ou l’indiaca où l’objectif est de tromper l’adversaire en lui donnant des informations qu’il peut interpréter de manière erronée.
Chaque animateur peut à loisir combiner ces différentes formes de jeux afin de créer celui qui convient pour atteindre les objectifs qu’il se fixe. le ballon moderne en est l’un des meilleurs exemple.
- Le Flag football : sport d’équipe, fondé sur les règles simplifiées du football américain.
- Le Ballon moderne : les règles du football et du handball en un seul jeu.
Les jeux d’opposition
Ces activités se répartissent selon leur nature et leur origine.
Majoritairement, on retrouve une grande part de “luttes”, qu’elles soient “habillées” (kimono) ou non. Les objectifs fédéraux de développement personnel et social collent parfaitement aux finalités de ces activités, véritable laboratoire de recherche et d’expertise pédagogique. Fondés sur les luttes traditionnelles dont le sens est la rencontre entre les individus dans des moments de fête (où il s'agit de montrer sa force mais également sa technique et sa capacité à comprendre et interpréter les actions du partenaire),les arts et éducation par les activités d'opposition ont pour socle commun la communication.
Les jeux d’opposition, dont le but initial est d’améliorer les capacités physiques et la communication entre les individus, sont des activités riches pour l’ensemble des publics. Ainsi, le développement moteur, physique, kinesthésique, psychologique et cognitif est appréhendé dans une multitude de situations pédagogiques, souvent très ludiques, alternant confrontation et coopération.
Le contact avec le corps de l’autre est le seul outil permettant de percevoir son placement, son équilibre et ses mouvements et donc de déterminer les actions à mettre en oeuvre pour lui résister et l’empêcher de prendre le dessus. Les situations misent en place sont fondées sur la réaction aux actions et aux déplacements du partenaire.
On y trouve deux catégories :
- Les activités d’origine martiale apparues en particulier en Asie : combats mimés avec des adversaires fictifs ou à plusieurs, permettent de créer des réponses complexes susceptibles de contrer une attaque. Le concept de self-défense est acceptable à condition qu’il s’appuie sur des compétences techniques et que la prise de confiance en soi s’accompagne d’une ouverture plus facile vers l’autre et non d’un sentiment de supériorité ou de crainte acceptée par l’assurance de pouvoir se défendre en cas d’agression.
- Les arts internes chinois peuvent s'apparenter selon l’approche de l’animateur à des arts martiaux ou à des gymnastiques douces. Ce type de pratique a été inventé par les populations qui avaient l’interdiction de se préparer au combat et ont transformé leurs outils agricoles en armes, apprenant les techniques de combat par la répétition de séquences sans adversaire et à des vitesses d’exécution variables. Cette tendance se retrouve essentiellement dans les différentes formes de tai-chi. Le point commun des activités au sein de la Fédération est la prise en considération du pratiquant, qui reste le centre de l’attention de l’animateur.